Les rivières s’étiolent et s’absent,
sans cesse remerciaient,
dans un ballet, un cercle d’onde
que l’eau fait naître,
elle se tisse entre les racines.
Lyrique, là-bas, où l’argile s’étend,
et les champs s’éveillent,
où l’onde nourrit,
les poissons, tout en loin
ous fendent le cœur.
Souffles d’air frais dans les feuilles,
les branches tressautent en joie.
Les criquets crient autour,
les oiseaux s’enflent dans les cieux.
Et je sauter sous les branches,
espérant mieux vivre,
laissant cet élan
vers ce parfum.
Ô, la quiétude marine,
outre le mot de la mer,
fuit ici, pour l’âme,
qui cherche ici, ces lieux.
- Émile Zola